La Convention sur la diversité biologique (CDB) est l'une des trois conventions signées au Sommet de la Terre, à Rio de Janeiro (Brésil) en 1992 ; les deux autres conventions étant la Convention sur les Changements Climatiques et la Convention de lutte contre la désertification. La Convention regroupe 194 pays (soit la quasi totalité des pays) mais pas les Etats-Unis. Parmi eux, 168 pays ont ratifié la convention et sont donc considérés comme les parties. La convention est le premier traité conclu au niveau mondial qui aborde tous les aspects de la diversité biologique, c'est-à-dire non seulement la protection des espèces mais également celle des écosystèmes et du patrimoine génétique.
Elle garantit l'utilisation durable des ressources naturelles : l’exploitation des écosystèmes, des espèces et des gènes doit se faire au bénéfice de l’humanité mais à un rythme et de manière à ce que cela n’entraîne pas, à long terme, une diminution de la diversité biologique.
Pour cela, la Convention sur la biodiversité biologique fixe trois objectifs principaux : la conservation de la diversité biologique ; l’utilisation durable de ses éléments constitutifs ; le partage juste et équitable des avantages découlant de l’exploitation de ses ressources génétiques.
Enfin, la Convention est aussi la première à reconnaître que la conservation de la diversité biologique est "une préoccupation commune à l'humanité" et fait partie intégrante d'un développement socio-économique durable.
L’Office français de la biodiversité (OFB) est un établissement public dédié à la sauvegarde de la biodiversité. Une de ses priorités est de répondre de manière urgente aux enjeux de préservation du vivant. Il met au service d’une même stratégie nationale, des compétences complémentaires en matière de connaissance, recherche et expertise sur les espèces, les milieux et leurs usages, de police de l’environnement et de police sanitaire de la faune sauvage, d’appui aux politiques publiques, aux acteurs, aux gestionnaires d’espaces naturels et de mobilisation citoyenne.
Spécialisé dans les espaces verts et le paysage, Plante & Cité est un organisme national d’études et d’expérimentations. Ce centre technique assure le transfert des connaissances scientifiques vers les professionnels des espaces verts des entreprises et des collectivités territoriales. Il développe la recherche et l'expertise pour apporter des réponses nouvelles et innovantes pour l'aménagement et la gestion des espaces verts en phase avec le développement durable.
Initié à Angers, dans le cadre de VEGEPOLYS, pôle de compétitivité du végétal, Plante & Cité s'est construit en partenariat avec les établissements de recherche, les services des espaces verts des collectivités et les entreprises de l'horticulture et du paysage.
Le Département dédié à la Biodiversité de l'Institut Paris Region ayant accueilli l'Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France (ARB îdF), fort de son équipe technique et de sa gouvernance partenariale, constitue le support opérationnel de cette Agence.
L’ARB îdF bénéficie ainsi des compétences de l’ensemble des équipes de L'Institut Paris Région, notamment en matière d’aménagement et d’urbanisme, thèmes clés dans une région comme l’Île-de-France pour réaliser des diagnostics pertinents et proposer des solutions opérationnelles en faveur de la biodiversité.
L'ARB îdF est le fruit d’un partenariat entre la Région Île-de-France et l’Agence française pour la biodiversité (AFB). Elle a pour missions d’évaluer l’état de la biodiversité, de suivre son évolution, d’identifier les priorités d’actions régionales, de diffuser les bonnes pratiques et de sensibiliser le public à sa protection.
Par exemple, l’ARB îdF élabore et se base sur des états de santé de la nature, pour faire évoluer les pratiques en faveur de la biodiversité et à inscrire la biodiversité dans les métiers et les secteurs d’activités. En matière d’aménagement et d’urbanisme, l’agence apporte son expertise sur le SRCE, accompagne les acteurs pour développer la nature en ville à toutes les échelles. Pour l’éducation des acteurs franciliens, elle est le relai des sciences participatives.
Le ministère de la Transition écologique a pour mission générale de préparer et mettre en œuvre la politique du Gouvernement dans tous les domaines liés à l’écologie, la transition énergétique et à la protection de la biodiversité.
Les compétences principales du ministère de la Transition écologique et solidaire incluent, entre autres, la préparation et la mise en œuvre des politiques du Gouvernement dans les domaines suivants: développement durable ; environnement, notamment protection et valorisation de la nature et de la biodiversité ; technologies vertes ; transition énergétique et énergie, notamment en matière tarifaire ; climat ; prévention des risques naturels et technologiques ; sécurité industrielle ; transports et leurs infrastructures ; équipement et la mer ; lutte contre le réchauffement climatique et la pollution atmosphérique ; gestion durable des ressources rares.
Le Cerema, répondant au besoin de disposer d’un appui scientifique et technique renforcé, pour élaborer, mettre en œuvre et évaluer les politiques publiques de l’aménagement et du développement durables, le Cerema, créé le 1° janvier 2014. Établissement public à caractère administratif (EPA), sous la tutelle conjointe du ministère de l’environnement, de l’énergie et de la mer et du ministère du logement et de l’habitat durable, le Cerema développe des relations étroites avec les collectivités territoriales qui sont présentes dans ses instances de gouvernance. Constituant, au plan national et territorial, un centre de ressources et d’expertises techniques et scientifiques en appui aux services de l’État et des collectivités locales, sa spécificité repose sur un ancrage territorial fort et sur sa capacité à faire le lien entre les administrations centrales, les services déconcentrés de l’État, les collectivités territoriales et l’ensemble des acteurs qui contribuent à la mise en œuvre des politiques publiques dans les champs de l’aménagement et du développement durable. Fort de son potentiel de recherche pluridisciplinaire, de son expertise technique et de son savoir-faire transversal, le Cerema intervient notamment dans les domaines de l’aménagement, de l’habitat, de la ville et des bâtiments durables, des transports et de leurs infrastructures, de la mobilité, de la sécurité routière, de l’environnement, de la prévention des risques, de la mer, de l’énergie et du climat.
L'Île-de-France est la région française la plus peuplée, elle représente 19% de la population et 2,8% de la surface du territoire. Véritable poumon économique du pays, centre culturelle et intellectuelle, laboratoire scientifique, l’Île-de-France mène une politique environnementale active. Sa politique régionale de l’environnement, l’agriculture et l’énergie traduit son engagement pour la conversion écologique et sociale de l’Île-de-France. Ses objectifs sont notamment de réduire l’empreinte écologique de la région, et de préserver et reconquérir la qualité des milieux franciliens. Avec sa Stratégie régionale pour la biodiversité, approuvée en septembre 2013, la région Ile-de-France à pour principaux objectifs de mobiliser les franciliens en faveur de la biodiversité et d’accompagner la mise en œuvre du Schéma régional de cohérence écologique à travers la déclinaison locale de la trame verte et bleue. Dans ce cadre, des aides régionales soutiennent notamment les actions des collectivités, des associations et des acteurs scientifiques. Les acteurs franciliens peuvent être soutenus dans leur démarche s’inscrivant dans un programme pluriannuel de préservation et de restauration de la biodiversité à travers la signature d’un contrat d’objective biodiversité. Par ailleurs, en 2007, la Région a créé Natureparif, l'Agence régionale de la biodiversité, qui met en réseau au niveau régional les différents organismes dans les domaines du suivi et de la protection de la biodiversité.
La région Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA) est la troisième région la plus peuplée de France, et sa dynamique contribue au développement économique de la France puisque plus de 7 % de la richesse nationale est produite en région.
Terre de contrastes, Provence-Alpes-Côte d'Azur présente un territoire entre soleil et lumière, paysages boisés et sols largement irrigués, mer et montagne, Méditerranée et Alpes, la Région peut miser sur ses atouts pour protéger et valoriser son environnement en s'appuyant sur les principes du développement soutenable. Agenda 21 régional, Plan climat territorial, mise en oeuvre des principes du développement soutenable dans toutes les politiques publiques... La Région met le cap vers une région durable, avec comme ligne de mire l'exemplarité.
L'Agence Régionale pour la Biodiversité et l'Environnement, forte d’une expérience de plus de 35 ans, a pour vocation d’aider et d’accompagner les collectivités territoriales à la prise en compte de l’environnement et à la mise en œuvre du développement durable sur les territoires de Provence-Alpes-Côte d’Azur.
L’ARBE est une agence de terrain, proche des territoires, elle est le lien et le lieu où peuvent se retrouver tous les acteurs de l’environnement et du développement durable. Elle favorise une synergie entre les politiques de nos membres fondateurs : la Région et les Départements, l’Etat, les acteurs du territoire et permet d’amplifier une dynamique régionale durable.
Elle encourage les rencontres, les échanges et participe à l’émergence de réseaux régionaux et de projets innovants, pour mettre en œuvre la transition écologique en Provence‐Alpes‐Côte d’Azur.
Créé en 1992, le Comité français de l’UICN est le réseau des organismes et des experts de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature en France.
Il regroupe au sein d’un partenariat original 2 ministères, 13 organismes publics, 40 organisations non gouvernementales et plus de 250 experts réunis en commissions spécialisées et en groupes de travail thématiques.
Par cette composition mixte, il est une plate-forme unique de dialogue et d’expertise sur les enjeux de la biodiversité, associant également les collectivités locales et les entreprises.
Le Comité français de l’UICN s’est fixé deux missions principales : répondre aux enjeux de la biodiversité en France et valoriser l’expertise française à l’international.
Association d’intérêt général à but non lucratif, Noé a pour mission de sauvegarder la biodiversité en France et à l’international.
Pour mener à bien sa mission, Noé déploie des programmes de conservation d’espèces menacées et de préservation et de restauration de milieux naturels et d’espaces protégés. Noé mène aussi des actions d’éducation et d’accompagnement visant à développer des changements de comportements plus respectueux de l’environnement, en reconnectant l’homme à la nature.
Humanité et Biodiversité est une association nationale loi 1901, reconnue d’utilité publique et agréée au titre de la protection de la nature par le Ministère chargé de l’environnement. Cette association a comme objectifs la préservation et le respect de la biodiversité dans une approche humaniste ; d’intégrer la prise en compte de la biodiversité dans tous les secteurs d’activités ; de favoriser le développement de la biodiversité sur tout le territoire ; et enfin, de mobiliser toute la société.
Forte d'un siècle d'engagement avec plus de 42 000 adhérents, 5000 bénévoles actifs, 400 salariés sur le territoire national et d'un réseau d'associations locales actives dans 79 départements, la LPO est aujourd'hui la première association de protection de la nature en France. (Consultez la carte du réseau d'associations locales LPO)
Elle œuvre au quotidien pour la protection des espèces, la préservation des espaces et pour l'éducation et la sensibilisation à l'environnement.
Elle est le partenaire officiel en France du réseau BirdLife International (120 représentants et près de 2,8 millions d'adhérents dans le monde).
La LPO a été créée en 1912 pour mettre un terme au massacre du macareux moine en Bretagne, oiseau marin devenu, depuis, son symbole. Elle a été reconnue d’utilité publique en 1986. Elle est dirigée par Yves Verilhac et présidée par Allain Bougrain Dubourg.
Activité : encourager la pratique de l'entomologie et développer les études sur les insectes, en particulier sous leurs aspects écologiques, vers tous les publics. L’Opie s’attache à développer des supports de diffusions des connaissances, des activités pédagogiques, des formations professionnelles, des inventaires et des études pour une meilleure conservation des insectes et de leurs milieux. L’Opie est représenté en région par 1 antenne et 5 associations. Depuis plus de 40 ans, l’Opie occupe une place privilégiée au carrefour de l'ensemble des activités entomologiques en France et de l’éducation à l’environnement sur le thème des insectes.
Le Programme sur l’Homme et la biosphère (MAB) est un programme scientifique intergouvernemental visant à établir une base scientifique pour améliorer les relations homme-nature au niveau mondial. Lancé au début des années 70, le MAB propose un agenda de recherche interdisciplinaire, encourage le renforcement des capacités et a pour principaux objectifs de réduire la perte de biodiversité et d’en traiter les aspects écologiques, sociaux et économiques.
Parce qu’il touche à des problèmes à la croisée de plusieurs domaines, scientifique, écologique, sociétal et du développement, le MAB rassemble plusieurs disciplines – sciences exactes et naturelles, sciences sociales, économie et éducation – destinées à améliorer les environnements humains et préserver les écosystèmes naturels. Il encourage notamment les approches novatrices pour un développement économique respectueux des valeurs sociales, culturelles et écologiques.
Association loi 1901, la Fédération des Parcs naturels régionaux de France est le porte-parole et l’animatrice du réseau des Parcs naturels régionaux. Née en 1971, elle répond depuis aux besoins des Parcs- élus et techniciens - d'échanger, de confronter les problèmes rencontrés, de se forger une doctrine et des méthodes communes, de faire connaitre ses acquis et de dessiner ensemble l'avenir. Elle regroupe tous les Parcs naturels régionaux, les Régions, et les partenaires nationaux des Parcs.
L’Association Française Interprofessionnelle des Ecologues est un réseau de professionnels de l’écologie appliquée au service du développement durable depuis plus de 30 ans. L’AFIE a été créée en 1979 afin de proposer un cadre professionnel au champ de l’écologie appliquée.L’AFIE se donne vocation à promouvoir des compétences et des savoir-faire de pointe en ingénierie écologique dans le souci de prise en compte des enjeux de préservation du patrimoine naturel français dans tous les secteurs d’activités.
Régions de France, une institution de représentation. Elle représente les Régions auprès des pouvoirs publics français et des institutions européennes : Commission, Parlement, Comité des Régions, Assemblée des Régions d’Europe, etc. Elle fait connaître au gouvernement français les avis des Président.e.s de Conseil régional sur les politiques publiques et sur les textes concernant les compétences des Régions. Elle informe les parlementaires des positions politiques des Régions afin qu’elles soient prises en compte dans les travaux législatifs.
Régions de France, un partenaire de l’ensemble des collectivités territoriales. Estimant que la complémentarité avec les autres échelons des collectivités territoriales est importante pour fonder les bases d’un pouvoir local fort et conforter la décentralisation, Régions de France travaille avec les autres associations d’élus et notamment l’AMF, l’ADF, France Urbaine, l’ADCF. Régions de France, un partenaire de la société civile. Dans le cadre d’une démarche résolument partenariale, Régions de France promeut le fait régional, dans toutes ses dimensions, auprès des grands acteurs de la vie économique et sociale comme les grandes entreprises, les chambres consulaires, les organisations et fédérations professionnelles, et le monde associatif.
Créée en 1907, reconnue d’utilité publique dès 1933, l’histoire de l’AMF se confond avec la défense des libertés locales. L’AMF s’implique pour que les maires et les présidents d’intercommunalité disposent des moyens juridiques et financiers suffisants pour assurer leurs missions. Sa légitimité, et donc sa force, c’est plus de 34 000 adhérents (maires et présidents d'intercommunalités), et un réseau de 102 associations départementales de maires. L’AMF assure deux grandes missions : être une force de proposition et de représentation auprès des pouvoirs publics ; et assurer une fonction de conseil, d’information permanente et d'aide à la décision à ses adhérents.
Vous pouvez désormais suivre l’ensemble des positions, des réactions de l’AMF et des informations en exclusivité sur son site internet www.amf.asso.fr et sur son compte twitter : @l_amf
France urbaine, née de la fusion de l'Association des Maires de Grandes Villes de France et de l'Association des Communautés Urbaines de France, regroupe les élus des métropoles, des grandes communautés et des villes centres ou périphériques. Elle compte, au 31 décembre 2015, 99 membres de toutes tendances politiques confondues, représentant près de 30 millions d'habitants.
France urbaine a pour objectif de promouvoir le fait urbain auprès des pouvoirs publics et de tous les citoyens. Dans un dialogue renouvelé avec l’Etat, l’association participe pleinement à la structuration du monde urbain dans notre pays et à l’attractivité de tout son territoire. En développant des services auprès de ses membres afin de mieux répondre aux enjeux auxquels ils sont confrontés, elle apporte une réflexion nouvelle dans les débats locaux, nationaux, européens et internationaux.
L’association est organisée en 4 collèges représentant toute la diversité urbaine : métropoles et communautés urbaines, communautés d’agglomération, villes, et villes et communautés d’Ile-de-France. Elle est administrée par un conseil d’administration de 38 membres et un bureau de 14 élus. Pour travailler les dossiers et préparer les prises de position, France urbaine dispose de commissions thématiques présidées par des élus et de groupes de travail ou projet mis en place au gré de l’actualité pour être force de proposition sur des questions à contenu technique.
Villes de France est une association pluraliste d’élus qui rassemble les villes et agglomérations de taille infra-métropolitaine du territoire national, ensemble qui est le cadre de vie de près de la moitié de la population française (30 millions d’habitants). Depuis le 19 juin 2014, Caroline Cayeux, sénateur-maire de Beauvais, est présidente de Villes de France et Jean-François Debat, maire de Bourg-en-Bresse en est le président délégué. Sur le socle de son expérience, Villes de France affirme une volonté renouvelée pour les villes et intercommunalités de taille infra-métropolitaines dans le paysage territorial et institutionnel français. La mission de Villes de France : représenter et défendre ces bassins de vie qui assurent la solidité du maillage régional, entre les métropoles et les territoires ruraux avec lesquels ils dialoguent et coopèrent. Notre association a pour vocation de valoriser les enjeux spécifiques et les attentes de ces territoires urbains, de renforcer leur contribution au développement économique, social et culturel, essentielle à l’équilibre national, et de promouvoir leur image. A l’occasion des grands débats d’aménagement du territoire, Villes de France se donne pour ambition de contribuer à l’émergence d’un nouvel équilibre territorial.
Depuis sa fondation en 1989, l'AdCF s'attache à promouvoir la coopération intercommunale, en participant activement à l'élaboration des lois, à la diffusion des pratiques locales et à l'appui technique des élus et techniciens communautaires. Elle contribue également aux grands débats sur l'organisation territoriale française, la réforme de la fiscalité locale et l'exercice des compétences décentralisées. Fédérant 1241 intercommunalités, dont 10 métropoles et plus de 200 agglomérations organisées sous forme de communautés d’agglomération ou communautés urbaines, qui rassemblent au total 80% de la population française regroupée en intercommunalité, l'AdCF est leur porte-parole auprès des pouvoirs publics.
L'Association des Ingénieurs Territoriaux de France, forte de près de 5000 membres, représente le plus grand réseau d'échanges et de capitalisation d'expériences au service de l'aménagement et du développement territorial. Implantée dans chaque région, l'AITF joue un rôle essentiel de prescripteur en matière d'étude et de recherche grâce notamment à l'expertise de ses 18 groupes de travail.
Le réseau tient son origine d'un premier regroupement professionnel opéré en 1936 sous l'impulsion d'Eugène Le Graverend, alors Directeur des espaces verts de la Ville de Rouen. Puis est venu Hortis, fruit d'un travail collectif au terme de débats et d'échanges riches, devenu un acteur incontournable de la filière horticole et du monde du paysage.
L’objectif est de fédérer des professionnels engagés dans leurs missions et portés par leur passion commune en leur offrant des opportunités d'échanges et de capitalisation d'expertises. Ce réseau est bien-sûr un facteur de développement personnel et professionnel, ceci dans la plus grande convivialité, en nouant des liens amicaux et de soutien.
Le CNFPT est un établissement public paritaire déconcentré dont les missions de formation et d’emploi concourent à l'accompagnement des collectivités territoriales et de leurs agents dans leur mission de service public.
L’institut national des études territoriales (INET) et les quatre INSET forment le réseau de l’expertise territoriale, réseau prenant en compte l’ensemble des problématiques des collectivités locales.
Ces instituts ont une double vocation territoriale et thématique :
L’expertise de chaque institut bénéficie à l’ensemble du réseau : chaque institut propose une offre de formation en direction des cadres A couvrant l’ensemble de ces champs.
Les Conservatoires d’espaces naturels ; ce sont 29 organismes engagés depuis près de 40 ans, dans la préservation de 3 000 espaces naturels (couvrant près de 153 000 hectares en métropole et en outre-mer), acquis, loués ou conventionnés avec les propriétaires (communes, départements, régions, privés) dont beaucoup sont ouverts au public. Les Conservatoires d’espaces naturels contribuent à préserver notre patrimoine naturel et paysager par leur approche concertée et leur ancrage territorial, au plus près des enjeux environnementaux, sociaux et économiques des territoires. Leurs interventions s’articulent autour de quatre fondements : la connaissance de la biodiversité, la protection et la gestion d’un réseau d’espaces naturels, l’accompagnement des politiques et des acteurs du territoire et la valorisation de patrimoine écologique pour une sensibilisation à la nature. Les 29 Conservatoires d’espaces naturels sont regroupés en réseau au sein d’une Fédération nationale (la Fédération des Conservatoires d'espaces naturels).
La Fédération nationale des Conseils d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement représente les 92 CAUE et leurs 10 Unions régionales. Les CAUE ont pour vocation la promotion de la qualité architecturale, urbaine, paysagère et environnementale. Ils exercent des missions de conseil, de formation, d'information et de sensibilisation auprès des collectivités et de l’ensemble des habitants et acteurs locaux. Le CAUE de l'Essonne est membre du comité scientifique, mandaté par la FNCAUE.
Établissement scientifique et service public, le Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN) est tourné vers la recherche et la diffusion de la culture scientifique naturaliste. Il porte depuis plus de 20 ans le programme de sciences participatives Vigie-Nature, en collaboration avec des associations partenaires pour suivre l’évolution de la biodiversité commune.
La revue Diagonal donne la parole, depuis plus de 40 ans, aux acteurs qui pensent et font la ville comme l’aménagement du territoire. Editée par le ministère en charge de la transition écologique et solidaire, elle met en lumière les politiques publiques à travers les innovations mais aussi les retours d’expériences des territoires.
L’Union nationale des CPIE est une association reconnue d’utilité publique. Elle attribue et gère le label "CPIE" et en garantie la qualité.
En plus de cette mission, elle :
Elle possède les agréments "Éducation Nationale", "Entreprise solidaire", "Association de protection de l’environnement" et "Jeunesse et éducation populaire".
Etablissements publics du ministère chargé du développement durable, les six agences de l’eau regroupent 1800 collaborateurs et ont pour missions de contribuer à réduire les pollutions de toutes origines et à protéger les ressources en eau et les milieux aquatiques. Les agences de l’eau mettent en œuvre, dans les sept bassins hydrographiques métropolitains, les objectifs et les dispositions des schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE, plans de gestion français de la directive cadre sur l’eau et leur déclinaison locale, les SAGE), en favorisant une gestion équilibrée et économe de la ressource en eau et des milieux aquatiques, l’alimentation en eau potable, la régulation des crues et le développement durable des activités économiques (article L213-8-1 Code de l’environnement ; Loi sur l’eau et les milieux aquatiques du 30 décembre 2006 – article 82).
Acteurs de la mise en œuvre de la politique publique de l’eau, organisée en France autour du principe de la gestion concertée par bassin versant, les agences de l’eau exercent leurs missions dans le cadre de programmes d’actions pluriannuels avec pour objectif final l’atteinte du bon état des eaux (directive cadre sur l’eau d’octobre 2000).
Après plus de deux ans de travail partenarial soutenu, le premier conseil d’administration de l’Agence Régionale de la Biodiversité de Bourgogne-Franche-Comté a été installé le lundi 8 juillet 2019 à Besançon par Bernard Schmeltz, préfet de région, en présence de Frédérique Colas, vice-présidente de la Région en charge de la transition écologique et de l'environnement et d’Anne-Laure Borderelle, directrice régionale de l’Agence Française pour la Biodiversité (AFB). Stéphane Woynaroski, conseiller régional délégué à la biodiversité et Anne-Laure Borderelle, directrice régionale de l’AFB, ont respectivement été élus, à l’unanimité, président et vice-présidente du conseil d’administration de cette Agence, l’une des toutes premières de France. Le conseil d’administration, composé de 30 membres répartis en 5 collèges (Etat et ses établissements publics, collectivités locales, organismes socio-professionnels, associations environnementales, organismes de recherche et personnes qualifiées), représente tous les acteurs impliqués dans la reconquête de la biodiversité.
L’Agence Régionale de la Biodiversité constitue un outil opérationnel de mise en œuvre de la stratégie régionale pour la biodiversité, intervenant dans le domaine des milieux terrestres, des milieux aquatiques continentaux et des milieux marins.
L'Agence régionale de la biodiversité Centre-Val de Loire (ARB) a été officiellement créée le 1er janvier 2019. Ce nouvel établissement public de coopération environnementale, né à l’issue d’une période de préfiguration participative, succède à l’ÉcoPôle (établissement public régional créé en 2008). L’État, la Région Centre-Val de Loire, l'Office Français de la biodiversité (OFB) et les Départements du Cher et de l’Eure-et-Loir en sont les membres constitutifs. Co-financée par le Conseil régional et l’OFB, l’Agence fédère 22 partenaires locaux, régionaux et nationaux au sein de son conseil d’administration. Un large réseau d’acteurs participe au développement de ses actions dans le cadre du comité technique et de groupes thématiques.
L’Agence vise à apporter des solutions concrètes et cohérentes, répondant aux besoins de multiples acteurs (collectivités, élus, chercheurs, monde agricole, entreprises, associations, citoyens,…) et aux enjeux des territoires.
L’Agence normande de la biodiversité et du développement durable accompagne les acteurs normands souhaitant s’engager dans la préservation et la reconquête de la biodiversité, la transition économique, écologique, sociale et climatique. Elle facilite la compréhension des enjeux de la biodiversité et du développement durable et la transmission des connaissances. Elle suscite l’engagement, encourage l’expérimentation et le déploiement des pratiques durables auprès de ses publics normands. Cette nouvelle structure regroupe l’Are Normandie, l’IRD2 et l’OBN.
L’Agence Régionale de la Biodiversité Nouvelle-Aquitaine (ARB NA) est née de la fusion de 2 structures préexistantes : l’Agence Régionale pour la Biodiversité en Aquitaine (ARBA) et l’Observatoire Régional de l’Environnement Poitou-Charentes (ORE).
L’ARB NA a pour ambition de permettre à tous les acteurs désireux de s’impliquer et d’agir dans les domaines de la protection de la biodiversité d’y contribuer en accompagnant ses actions. Son champ d’action couvre la biodiversité terrestre, aquatique et marine en termes d’espaces et d’espèces sur le territoire de la Nouvelle-Aquitaine. Ce champ inclut également la biodiversité cultivée et domestique, les espèces envahissantes et le suivi de la ressource en eau. Dans son périmètre d’actions, elle veille également aux liens avec la cohésion sociale, le développement humain et l’économie.
Avec sa frontière commune avec la Suisse, l’Ile-de-France, le Centre-Val de Loire, le Grand-Est et l’Auvergne-Rhône-Alpes, la Région Bourgogne-Franche-Comté, avec ses 2,821 millions d’habitants et ses 14 gares TGV, bénéficie d’une place privilégiée au milieu de l’Europe. Depuis 2017, les services de la Région Bourgogne-Franche-Compté travaillent sur le programme SRADDET "Ici 2050", qui recouvre de nombreux champs d'intervention de la collectivité. Le SRADDET « Ici 2050 » est un travail dit de « prospective », qui implique une projection du territoire à 30 ans tout en tenant compte des réalités, acquis, ambitions et des tendances déjà observées. que l’on peut d’ores et déjà observer. La Région, à pied d’œuvre sur ce grand projet depuis 2017, a adopté le SRADDET lors de son assemblée plénière des 25 et 26 juin 2020. Le SRADDET traduit la volonté de prendre en compte les bouleversements actuellement à l’œuvre sur le territoire : le changement climatique, la préservation des ressources et des énergies, et le développement technologique lié au numérique.
La Région Centre-Val de Loire est composée de 6 départements (Le Cher, l'Eure-et-Loir, l'Indre, l'Indre-et-Loire, le Loiret et le Loiret-et-Cher). Région a taille humaine d'une superficie de 40 000km², elle est la sixième région française en superficie et compte près de 2,5 millions d'habitants, doit la dixième région française en nombre d'habitants. Elle partage avec d’autres collectivités les compétences en matière de sport, de culture, de tourisme, de logement, d’éducation populaire, de lutte contre la fracture numérique et de santé. Acteur essentiel du développement et de l’aménagement du territoire, la Région joue un rôle incontournable d’animateur de la vie économique, sociale et culturelle. Dès octobre 2011, la Région Centre adopte sa Stratégie Régionale pour la Biodiversité (SRB), avec pour ambition de devenir un territoire à biodiversité positive. Cela s’est concrétisée par l’élaboration, conjointement avec l’État, du Schéma Régional de Cohérence Ecologique en 2013-2014. Dans cette perspective, les « trames vertes et bleues » sont développées à l’échelle des pays et des agglomérations pour enrayer la perte de biodiversité.
Avec sa biodiversité extraordinaire, ses ressources naturelles en abondance favorisant les énergies renouvelables, la Guadeloupe est une terre d’avenir. Grâce aux conditions propices à l'inventivité et la créativité de chacun, l'archipel est aussi une grande terre d’innovation. Il compte ainsi un réseau important en recherche et développement, des acteurs dynamiques dans des domaines tels que les TIC, les productions agricoles ou les énergies. La Guadeloupe fait partie des 25 zones les plus riches en biodiversité au plan international. Elle dispose ainsi d’un patrimoine naturel hors du commun, au fort potentiel, laissant augurer d’un bel avenir. La région possède une diversité de milieux naturels, terrestres et marins exceptionnelle, une quantité impressionnante des sites remarquables. Elle compte notamment deux réserves naturelles : du Grand-Cul-de-Sac-Marin et des îles de la Petite-Terre (La Désirade) ; le « Parc Naturel de la Guadeloupe » aménagé par l'Office National des Forêts, en 1970 et qui couvre près de 40 000 hectares.
La Région Normandie est à taille humaine, son territoire est organisé autour de trois grands pôles urbains – Caen, Le Havre et Rouen – et d’un réseau d’agglomérations - Alençon, Cherbourg, Dieppe, Évreux, Louviers… L’histoire, le climat et la présence humaine ont peu à peu façonné les paysages de ces deux grandes étendues : à l'ouest, le massif armoricain, granitique et schisteux ; à l’est, le bassin parisien et ses sols majoritairement calcaires. La Normandie compte de nombreux espaces protégés, en raison de la richesse de leurs milieux naturels, de leur faune et de leur flore.
Depuis le 1er janvier 2016, l’Aquitaine, le Limousin et le Poitou-Charentes sont réunis au sein d’une même collectivité, la Région Nouvelle-Aquitaine. C’est la plus grande région de France et la 4e la plus peuplée de l’hexagone avec 5,9 millions d’habitants (Chiffre INSEE au 1er janvier 2016). Parmi ses nombreuses ressources, la région rayonne grâce à ses complémentarités industrielles (aéronautique, laser, métiers du cuir et du luxe, éco-industries, agroalimentaire, santé…), mais également ses 1000 km de littoral (dont les lacs et les étangs), son patrimoine culturel, ses sites classés au patrimoine mondial de l’UNESCO ou encore ses sites naturels remarquables.
La Région Occitanie garantit l’équité des territoires, valorise l’espace régional et favorise la transition écologique et énergétique. Cette impulsion sera traduite par le futur Schéma Régional d’Aménagement de Développement Durable d’Egalité des Territoires (SRADDET).
Elle construit des politiques contractuelles territoriales, notamment pour les zones de massif, les bassins fluviaux et les bourgs-centres, et investit dans les infrastructures numériques. La Région porte l’ambition de devenir la 1ère Région à énergie positive d’Europe. Elle met l’accent sur la transition écologique et énergétique, la préservation de la biodiversité et du patrimoine naturel, la gestion des ressources en eau, la mise en valeur de l’agriculture biologique et de l’économie circulaire. Elle créera l’Agence Régionale de l’Énergie et élabore dans la concertation son Plan régional de prévention et gestion des déchets.
Pour démultiplier les synergies en faveur de la protection de la biodiversité, l’OFB et la Région ont créé fin 2019 l’Agence bretonne de la biodiversité, en partenariat avec l’Agence de l’eau Loire-Bretagne et les services de l’État. Les 5 missions de l’ABB :
France Villes et territoires Durables est l'association française des parties prenantes professionnelles publiques et privées de la ville durable et résiliente qui réunit l’Etat (et ses agences et opérateurs), des collectivités locales (et certaines de leurs fédérations), des entreprises (de toute taille et secteurs d’activité) et des experts. Elle vise à repérer et rediffuser le plus largement possible les meilleures méthodes, outils et exemples de réalisations qui permettent d’accélérer la montée en résilience et la transformation écologique et sociale des territoires, à travers diverses actions : ateliers d’inspiration auprès des collectivités, groupes de travail, recueil d’outils et de bonnes pratiques.
L’Ecole de la nature et du paysage est une école interne de l'institut national des sciences appliquées Centre Val de Loire (INSA CVL), dont elle est l'un des départements. Elle forme des paysagistes concepteurs en cinq ans et les recherches menées portent sur les relations sociétés-écologie-environnement dans les paysages urbains et fluviaux.